Sommaire
- 1 Les informations qui ont fuité sur les critères SEO de Google révèlent des détails fascinants sur la manière dont les pages sont classées.
- 1.1 1. L’importance des clics et du comportement utilisateur
- 1.2 2. Utilisation des données issues de Chrome
- 1.3 3. Le “siteAuthority” et la notion d’autorité du site
- 1.4 4. La fraîcheur du contenu et l’importance des mises à jour
- 1.5 5. L’importance de l’auteur et du cadre E-A-T
- 1.6 6. Systèmes de déclassement automatique
- 1.7 7. Les “Twiddlers” pour ajuster les résultats après le classement
- 1.8 8. Le rôle toujours important des liens
- 1.9 Conclusion :
- 2 Barry Swartz expert SEO reconnu, avait démystifié, preuves Google à l’appui, des conceptions répandus dans le monde du référencement
- 3 Suite à la fuite des documents de Google concernant les critères de classement SEO, plusieurs affirmations sur les facteurs de classement de Google ont été confirmées, réfutées ou restent non clarifiées.
Les informations qui ont fuité sur les critères SEO de Google révèlent des détails fascinants sur la manière dont les pages sont classées.
Voici un développement plus approfondi des points essentiels :
1. L’importance des clics et du comportement utilisateur
Les fuites montrent que Google intègre différents types de clics et de comportements utilisateurs dans son processus de classement. Les systèmes tels que NavBoost et Glue sont spécifiquement conçus pour analyser les données liées aux clics des utilisateurs, ce qui contredit les déclarations précédentes de Google. Par exemple, les documents mentionnent des métriques comme les “goodClicks”, “badClicks” et “lastLongestClicks” (Enterprise Technology News and Analysis) (Search Engine Journal). Ces types de clics permettent à Google de distinguer les clics qui reflètent une bonne ou mauvaise expérience utilisateur. Par conséquent, même si Google a nié publiquement l’utilisation des taux de clics (CTR) comme critère de classement, cette information prouve que certains types de clics influencent bien les classements.
2. Utilisation des données issues de Chrome
Il est révélé que Google exploite les données de navigation des utilisateurs de Chrome, notamment le flux de clics (clickstream), pour évaluer la qualité des pages. Ces informations sont utilisées pour influencer le classement des pages, malgré les dénégations de Google selon lesquelles les données de Chrome ne sont pas directement exploitées pour le classement (Enterprise Technology News and Analysis) (Search Engine Journal). Cela suggère que Google a accès à des informations très détaillées sur le comportement des utilisateurs, allant bien au-delà des simples taux de rebond ou de clic.
3. Le “siteAuthority” et la notion d’autorité du site
L’un des aspects les plus importants des documents fuites est la confirmation de l’existence d’un score d’autorité de site (siteAuthority). Bien que Google ait souvent nié l’existence de scores d’autorité, ces documents montrent que Google utilise un système pour évaluer l’autorité d’un site, ce qui peut influencer son classement global. Ce score est particulièrement important pour les pages nouvellement créées, pour lesquelles Google utilise l’autorité de la page d’accueil comme substitut jusqu’à ce que ces pages développent leur propre PageRank (Search Engine Journal) (PopArt Studio).
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4. La fraîcheur du contenu et l’importance des mises à jour
Les documents montrent que Google accorde une importance particulière à la fraîcheur du contenu grâce à un système appelé FreshnessTwiddler. Ce dernier réévalue les pages en fonction de leur actualisation, ce qui signifie que les pages récemment mises à jour peuvent obtenir un coup de pouce dans les classements. Cela confirme que Google privilégie le contenu à jour et fréquemment mis à jour, en particulier dans des domaines où les informations changent rapidement (PopArt Studio).
5. L’importance de l’auteur et du cadre E-A-T
L’importance croissante du cadre E-A-T (Expertise, Authorité, Fiabilité) est confirmée par la fuite. Google suit non seulement les auteurs, mais utilise aussi des techniques avancées pour associer le contenu à des entités spécifiques et vérifier si l’auteur déclaré est légitime. Ce suivi permet à Google de s’assurer que le contenu est produit par des experts, ce qui est crucial pour des sujets sensibles comme la santé ou les finances (YMYL, “Your Money or Your Life”) (PopArt Studio).
6. Systèmes de déclassement automatique
Les documents révèlent plusieurs facteurs pouvant entraîner une rétrogradation automatique des pages dans les résultats de recherche. Par exemple, les liens avec des textes d’ancrage non pertinents (mismatch anchor), les mauvaises expériences utilisateur (faible taux de clics, navigation médiocre), ou encore les domaines correspondant exactement aux mots-clés de recherche (Exact Match Domains) sont susceptibles d’être déclassés (PopArt Studio). Cela montre que Google pénalise activement les pages qui ne fournissent pas une expérience utilisateur de qualité ou qui utilisent des techniques jugées peu fiables.
7. Les “Twiddlers” pour ajuster les résultats après le classement
Les Twiddlers sont des systèmes secondaires qui ajustent le classement des résultats après l’évaluation initiale par l’algorithme principal (Ascorer). Ils sont utilisés pour affiner les résultats, diversifier les types de contenu présentés et réajuster les scores selon des critères comme la fraîcheur du contenu. Par exemple, un Twiddler peut limiter le nombre de résultats provenant de blogs à trois dans une page de résultats, ce qui montre la complexité des ajustements effectués avant que les résultats finaux ne soient affichés aux utilisateurs (PopArt Studio).
8. Le rôle toujours important des liens
Bien que certaines discussions dans la communauté SEO suggèrent que les liens perdent de leur importance, les fuites montrent que les liens restent essentiels dans l’algorithme de Google. Les documents révèlent des systèmes avancés de détection du spam de liens et confirment que Google analyse méticuleusement les graphes de liens pour évaluer la pertinence et la qualité des pages (PopArt Studio).
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Conclusion :
Ces documents montrent que le classement SEO est bien plus complexe que les déclarations publiques de Google ne le laissaient entendre. Les comportements utilisateurs, les données Chrome, l’autorité du site et de l’auteur, ainsi que la fraîcheur du contenu jouent tous un rôle crucial dans le processus. Cela souligne la nécessité d’une approche SEO intégrant à la fois des pratiques techniques solides et une création de contenu orientée vers l’expérience utilisateur et la pertinence.
Ces révélations renforcent l’idée que pour réussir dans le SEO, il est impératif de fournir un contenu de qualité, fréquemment mis à jour, et pertinent, tout en veillant à une bonne expérience utilisateur.
Barry Swartz expert SEO reconnu, avait démystifié, preuves Google à l’appui, des conceptions répandus dans le monde du référencement
Voici quelques-uns des signaux qui, selon Google, ne sont pas des signaux de classement direct dans ses algorithmes de recherche :
- Search quality raters guidelines (source) :Les évaluateurs de la qualité de recherche de Google (Search Quality Raters) utilisent des directives strictes pour évaluer la qualité des résultats de recherche. Leur travail aide à améliorer l’algorithme, mais leurs évaluations n’ont pas d’impact direct sur les classements de recherche. Ils évaluent notamment la pertinence, l’expertise, l’autorité et la confiance (E-A-T) des pages.
- Google Ads (source) :Il y a souvent un malentendu selon lequel les publicités Google (Google Ads) peuvent influencer les résultats de recherche organique. Danny Sullivan, porte-parole de Google, a clairement indiqué que les publicités payantes n’ont aucune incidence sur les classements des résultats organiques.
- Mentions ou likes sur les réseaux sociaux (source) :Contrairement à certaines croyances, les mentions ou likes sur les réseaux sociaux (par exemple, Facebook, Twitter) ne sont pas des facteurs de classement directs dans l’algorithme de Google. Gary Illyes, de Google, a réaffirmé que les signaux sociaux ne sont pas utilisés comme critères de classement.
- Click-through rates à partir des résultats de recherche (source) :Le taux de clics (CTR), qui mesure combien de personnes cliquent sur un résultat après l’avoir vu, n’est pas un facteur de classement direct. Google affirme que l’utilisation des CTR comme critère serait trop facilement manipulable par les webmasters.
- Pogosticking : retour à la page des résultats de recherche (source) :”Pogosticking” se réfère au comportement des utilisateurs qui cliquent sur un résultat de recherche, puis reviennent rapidement à la page de résultats. Ce comportement n’est pas directement utilisé comme signal de classement, bien qu’il puisse indiquer une mauvaise expérience utilisateur.
- Durée sur une page (source) :Le “dwell time” fait référence à la durée pendant laquelle un utilisateur reste sur une page après l’avoir visitée via un résultat de recherche. Bien que souvent discuté dans la communauté SEO, Google a indiqué que ce n’est pas un facteur de classement direct.
- Taux de rebond (source) :Le taux de rebond mesure le pourcentage d’utilisateurs qui quittent une page sans interagir. Google ne l’utilise pas comme un facteur de classement direct, car un taux de rebond élevé peut avoir différentes significations selon le type de page.
- Engagement utilisateur (source) :Google ne prend pas en compte les actions spécifiques des utilisateurs sur une page (clics sur des boutons, formulaires remplis, etc.) comme un signal de classement direct. Cependant, une forte interaction utilisateur peut indirectement améliorer la réputation d’une page.
- Comportement utilisateur(source) :L’expérience utilisateur (UX) est prise en compte par Google dans le cadre de certains signaux comme les Core Web Vitals, mais les comportements spécifiques des utilisateurs ne sont pas directement intégrés dans l’algorithme de classement.
- Donnée Chrome (source) :Les données de navigation collectées via Chrome, telles que les habitudes de navigation ou l’historique de recherche, ne sont pas utilisées pour influencer le classement des résultats de recherche, à l’exception des signaux liés aux Core Web Vitals.
- Google Analytics (source) :Les données de Google Analytics, bien qu’elles soient précieuses pour les webmasters, ne sont pas intégrées dans l’algorithme de classement de Google. Elles servent uniquement à analyser les performances d’un site et non à influencer directement son positionnement.
- Données de la barre d’outil (source) :Les données de la Google Toolbar ne sont pas utilisées pour le classement des résultats de recherche. Google s’appuie plutôt sur d’autres outils et méthodes pour évaluer les sites.
- Traffic du site (source) :Le volume de trafic global d’un site web n’a pas d’impact direct sur le classement dans Google. L’algorithme se concentre plutôt sur la pertinence du contenu et d’autres signaux comme la qualité de la page.
- Abandon de panier (source) :L’abandon de panier dans un site de e-commerce n’est pas pris en compte par Google comme un facteur de classement. Ce type de métrique est plutôt utilisé pour évaluer la performance d’un site pour le propriétaire du site.
- E-A-T (source) :Google attache une importance croissante à l’E-A-T (Expertise, Authoritativeness, Trustworthiness), en particulier pour les sites abordant des sujets sensibles comme la santé ou les finances (YMYL). Bien que cela ne soit pas un facteur direct de classement, ces critères influencent la manière dont les algorithmes évaluent la qualité d’une page.
- Responsive design (source) :Google valorise les sites qui adoptent un design responsive, c’est-à-dire qui s’adaptent aux différents appareils (mobile, tablette, ordinateur). Cela peut impacter positivement le classement dans les recherches effectuées sur des appareils mobiles.
- AMP (source) :Les pages AMP (Accelerated Mobile Pages) ne sont pas un facteur de classement direct, mais elles peuvent bénéficier d’une visibilité accrue dans certaines sections des résultats de recherche, comme le carrousel d’actualités sur mobile.
- Exactitude du contenu (source) :Bien que la précision du contenu soit essentielle pour une bonne expérience utilisateur, elle n’est pas un facteur de classement direct. Cependant, un contenu inexact peut entraîner des pénalités indirectes, notamment si les utilisateurs quittent rapidement la page.
- Auteur bio (source) :Les biographies d’auteurs peuvent aider à répondre aux critères E-A-T, surtout pour les sujets YMYL, mais leur absence ne pénalise pas directement une page dans les classements.
- Structured data markup (source) :Le balisage de données structurées (Schema.org, etc.) n’améliore pas directement le classement d’une page. Cependant, il peut aider Google à mieux comprendre le contenu et ainsi l’afficher de manière plus appropriée dans les résultats (rich snippets).
- Nombre de mots (source) :Le nombre de mots n’est pas un facteur de classement direct. Un article plus long n’est pas nécessairement mieux classé. Google privilégie la qualité et la pertinence du contenu par rapport à sa longueur.
- Liens sortants (source) :Les liens sortants, bien qu’ils puissent aider à renforcer la crédibilité d’une page, ne sont pas directement utilisés par Google comme un facteur de classement. L’importance repose sur la qualité globale du contenu.
- Prix des produits (source) :Les prix des produits sur un site de commerce en ligne ne sont pas un facteur de classement dans les résultats de recherche Google. Cependant, la pertinence du contenu et l’expérience utilisateur sont plus déterminantes.
- URL longueur(source) :La longueur de l’URL n’a pas d’incidence sur le classement dans les résultats de recherche Google. Il est recommandé d’avoir des URLs simples et claires pour une meilleure expérience utilisateur, mais cela n’impacte pas directement le SEO.
- Accessibilité (source) :L’accessibilité (par exemple, pour les utilisateurs handicapés) peut indirectement influencer le classement en améliorant l’expérience utilisateur, mais elle n’est pas un facteur de classement direct.
- Etoiles, notes et evaluations (source) :Les évaluations en étoiles et les avis des utilisateurs ne sont pas des facteurs directs de classement dans Google, mais ils peuvent influer sur la manière dont une entreprise est perçue dans des fonctionnalités spécifiques comme les résultats locaux.
- Better Business Bureau (source) :Google n’utilise pas les scores du Better Business Bureau (BBB) comme facteur de classement. Cependant, une mauvaise réputation auprès d’organismes comme le BBB peut affecter la perception des utilisateurs et indirectement impacter le classement.
- Trust organisations et badges (source) :Les badges de confiance et les adhésions à des organisations reconnues ne sont pas utilisés comme facteurs de classement, mais ils peuvent influencer la crédibilité perçue par les utilisateurs.
- Age du Domain (source) :L’âge d’un domaine n’est pas un facteur de classement. Google préfère se concentrer sur la qualité et la pertinence du contenu plutôt que sur l’ancienneté du site.
- 3D & AR images (source) :Les images 3D et de réalité augmentée (AR) ne sont pas prises en compte comme facteur de classement par Google. Cependant, elles peuvent améliorer l’expérience utilisateur.
- Inscription Newsletter Email (source) :Les inscriptions à des newsletters par email ne sont pas un signal utilisé par Google pour déterminer le classement d’un site.
- Signaux utilisateur réels (source) :Les signaux utilisateurs réels, comme les visites physiques en magasin, ne sont pas utilisés directement par Google dans l’algorithme de classement, mais peuvent influencer d’autres aspects du SEO local.
- Higher page counts (source) :Avoir un grand nombre de pages sur un site web n’améliore pas directement le classement. La qualité et la pertinence des pages sont bien plus importantes que la quantité.
- Fréquence de publication de contenu (source) :La fréquence de publication de contenu n’est pas un facteur de classement direct, mais maintenir un contenu régulièrement mis à jour peut indirectement améliorer la visibilité d’un site.
- Moz domain authority (source) :Le score d’autorité de domaine (DA) de Moz n’est pas pris en compte par Google. C’est une métrique créée par Moz et non par Google, et elle n’influence pas directement les classements des résultats de recherche.
Suite à la fuite des documents de Google concernant les critères de classement SEO, plusieurs affirmations sur les facteurs de classement de Google ont été confirmées, réfutées ou restent non clarifiées.
- Search quality raters guidelines ratings :
Vrai. Google utilise les évaluations des “Search Quality Raters” comme une partie du processus d’entraînement de ses algorithmes pour améliorer la pertinence des résultats de recherche. Les raters ne modifient pas directement les classements, mais leurs retours sont utilisés pour ajuster l’algorithme global (Search Engine Journal) (PopArt Studio). Google Ads:
Faux. Selon Google et confirmé par la fuite, les campagnes Google Ads n’influencent pas directement les classements organiques des résultats de recherche (Search Engine Land).Social media mentions or likes:
Faux. Google ne prend pas en compte les mentions ou les likes sur les réseaux sociaux comme facteur de classement (Search Engine Journal).- Click-through rates from search results :
Vrai mais partiellement. La fuite révèle que certains types de clics, tels que les “goodClicks” et “badClicks”, sont utilisés par Google, contredisant les déclarations publiques qui niaient l’utilisation du taux de clics (CTR) comme facteur de classement (Enterprise Technology News and Analysis) (Search Engine Journal). - Pogosticking back to the search results page :
Vrai. Le comportement des utilisateurs, comme le “pogosticking” (quand un utilisateur revient rapidement sur la page de résultats après avoir cliqué sur un lien), semble affecter le classement selon les documents fuites (Search Engine Journal) (PopArt Studio). - Dwell time on a page :
Vrai. Bien que Google ait souvent nié l’utilisation du temps passé sur une page (“dwell time”), la fuite suggère que certains signaux d’engagement utilisateur, comme le temps passé sur une page, sont utilisés indirectement dans le classement (Enterprise Technology News and Analysis) (Search Engine Journal). Bounce rates:
Faux. Selon la fuite, Google ne semble pas utiliser directement les taux de rebond comme critère de classement, malgré les rumeurs (Enterprise Technology News and Analysis).- User engagement data on your web pages :
Vrai. L’engagement utilisateur, y compris les données issues de Chrome, est pris en compte pour évaluer la qualité des pages (Enterprise Technology News and Analysis) (Search Engine Journal). - User behavior :
Vrai. Le comportement des utilisateurs est utilisé dans certains cas, surtout pour ajuster les résultats après le classement initial (PopArt Studio). - Chrome data outside of core web vitals :
Vrai. Google utilise des données issues du navigateur Chrome pour évaluer la qualité des pages et des sites (Enterprise Technology News and Analysis). Google Analytics data
Faux. Bien que les données de Google Analytics soient utiles pour les webmasters, elles ne sont pas utilisées directement pour le classement des résultats (Enterprise Technology News and Analysis).Toolbar data:
Pas cité. Aucune mention directe dans les fuites, mais il semble que les données de la Google Toolbar ne soient plus utilisées activement (Search Engine Journal).Traffic on a web site:
Faux. Le volume de trafic global d’un site ne semble pas être utilisé comme facteur de classement (Search Engine Journal).Abandon de panier:Faux. L’abandon de panier ne semble pas affecter directement le classement (Enterprise Technology News and Analysis).- E-A-T :
Vrai. Les documents confirment l’importance de l’expertise, l’autorité et la fiabilité (E-A-T) dans le classement, en particulier pour les sites YMYL (Your Money or Your Life) (PopArt Studio). - Responsive design :
Vrai. Le design responsive est un facteur important pour l’algorithme de classement, notamment sur les appareils mobiles (Enterprise Technology News and Analysis). AMP
Faux. AMP n’est pas un facteur direct de classement, même s’il peut influencer la visibilité dans certaines sections spécifiques (Search Engine Land).Précision du contenu:
Faux. La précision du contenu n’est pas explicitement utilisée comme facteur de classement direct (Search Engine Land).- Author bios :
Vrai. L’algorithme suit l’identité des auteurs et l’attribue à des entités nommées, validant ainsi l’importance des biographies d’auteurs pour le classement (PopArt Studio). - Structured data markup :
Vrai. Le balisage de données structurées aide Google à comprendre le contenu, bien que cela ne soit pas un facteur direct de classement (PopArt Studio). Word count:
Faux. Le nombre de mots n’est pas un facteur de classement direct. Google valorise la qualité du contenu plutôt que sa longueur (Enterprise Technology News and Analysis).Outbound links:
Faux. Les liens sortants ne sont pas utilisés directement comme critère de classement (Search Engine Land).- Product prices :
Pas cité. Les documents ne mentionnent pas que les prix des produits influencent le classement (Search Engine Journal). URL length:
Faux. La longueur de l’URL n’est pas un facteur direct de classement (Search Engine Land).Accessibility:
Pas cité. Aucun détail spécifique sur l’accessibilité n’a été trouvé dans les fuites (Search Engine Journal).Stars, ratings and reviews:
Pas cité. Les étoiles et avis ne sont pas mentionnés comme facteurs directs dans les documents (Enterprise Technology News and Analysis).- Better Business Bureau :
Faux. Les notes du BBB ne sont pas utilisées dans le classement (Search Engine Land). Trust organizations and badges:
Pas cité. Aucune mention spécifique dans la fuite concernant les badges de confiance (Search Engine Journal).Domain age:
Faux. L’âge du domaine n’est pas un facteur de classement, confirmé par les documents, le bac à sable est destiné au spam et l’âge du domaine n’a pas d’importance (Search Engine Land) (Enterprise Technology News and Analysis).3D & AR images:
Pas cité. Aucun détail concernant les images 3D ou de réalité augmentée n’est mentionné comme facteur dans les documents fuites (Search Engine Journal).
Ces conclusions montrent que certaines croyances répandues dans la communauté SEO sont soit confirmées, soit réfutées, et que certaines pratiques peuvent être davantage nuancées qu’on ne le pensait initialement.